Entrevue avec Marcel Chapuis
mardi 2 janvier 2001, par
AssociationÉlectionAssociation IDÉESQuestion : Marcel, vous êtes déjà un “vieux Beaumontois”, n’est-ce-pas ?
Marcel Chapuis : En quelque sorte. En 30 ans, j’ai eu l’occasion de connaître bon nombre de Beaumontois. Quant à ma femme, Marie-Angèle Plantin, elle est née ici. De plus, j’ai déjà été conseiller municipal (socialiste) de 83 à 89. À l’époque, il était difficile de faire avancer des projets. C’est encore pire aujourd’hui.
Q : Votre engagement sur la liste UNION-IDÉES est-il récent ?
MC : Non, depuis 7 ans, je m’investis avec IDÉES Pour Beaumont. Ce qui me plaît, c’est que seule cette association a défendu Beaumont sans discontinuer, tout le temps, même en dehors des périodes électorales. Nos élus ont obtenu des résultats concrets. Aujourd’hui, notre liste constitue un véritable espoir. Nous connaissons les dossiers. Nous n’avons pas d’ambition politicienne. Nous sommes libres de nos mouvements. Nous avons tenu tous nos engagements. Notre action est reconnue dans l’agglomération. Tout cela les Beaumontois le savent.
Q : Quelle est la priorité qui vous passionne ?
MC : Les relations avec les autres. Mon travail d’agent technique dans un centre de personnes atteintes de surdité (Les Gravouses) et mon engagement syndical le prouvent. À Beaumont, depuis longtemps je donne de mon temps à plusieurs associations. J’ai fait partie du comité de jumelage pendant plus de 10 ans. Actuellement je suis secrétaire d’une association.
Je connais de nombreux bénévoles, leurs difficultés, leurs attentes. Au conseil municipal, nous pourrons apporter un plus à cette vie locale.
Q : Vous êtes résolument optimiste ?
MC : Toujours. C’est le meilleur moyen d’aller de l’avant. Par exemple, qui aurait parié sur le succès et l’ambiance de notre fête de la Châtaigne ? Juste un tout petit regret : quand nous serons élus, par souci d’honnêteté, j’abandonnerai toute responsabilité associative pour être parfaitement objectif et pour aider tout le monde, sans ambiguïté.